Indice de prospérité mondial : l’Algérie régresse  à la 116e place
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Rédaction Ecomnews Med
vendredi 7 décembre 2018 Dernière mise à jour le Vendredi 7 Décembre 2018 à 10:30

Dans son classement annuel de la prospérité mondiale, l’organisation « Legatum Institute » basée à Londres a placé l’Algérie à 116e position sur un total de 149 pays recensés. Le géant maghrébin perd donc une place cette année, et 19 places depuis le premier classement paru en 2007. Focus…

Dirigé par la baronne Philippa Stroud, membre de la chambre des Lords, le Legatum Institute est une organisation caritative à vocation éducative qui réalise chaque année des travaux liés à l’économie et au développement.

Son principal fait d’arme reste son classement des pays en fonction de leur « prospérité ». Cette variable est appréciée à travers plusieurs indicateurs comme le dynamisme économique, la transparence de la gouvernance, le système de santé, l’accès et la qualité de l’éducation, le climat des affaires, l’environnement, etc.

Dans son dernier classement publié le 28 novembre dernier, le think tank londonien a noté une progression de l’indice de prospérité de 113 pays, soit 75% des nations étudiées pour environ 6 milliards de personnes. Le trio de tête est composé, dans cet ordre, de la Norvège, de la Nouvelle-Zélande et de la Finlande.

Un mauvais score de l’Algérie au niveau des libertés individuelles

Si elle n’a pas brillé, se contentant d’une modeste 116e place, l’Algérie fait toutefois bonne figure sur l’indicateur de la sécurité, puisque le pays occupe la 57e place à ce niveau. Alger occupe néanmoins une inquiétante 135e place (sur 149) pour le critère de l’environnement des affaires.

Le capital social (120e) et le dynamisme de l’économie (115e) sont également des points faibles pour le pays maghrébin. Mais c’est au niveau des libertés individuelles qu’Alger a réalisé son plus mauvais score, se classant 145e. « Il y a de plus en plus de restrictions gouvernementales sur la religion », peut-on notamment lire sur le rapport.

 

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