Mardi 20 août, le premier ministre libanais, Saad Hariri, a inauguré la seconde phase des travaux d’amélioration de l’Aéroport International de Beyrouth.
En raison d’un afflux croissant et d’une forte congestion, des travaux d’extension ont été entamés afin d’agrandir l’aéroport de Beyrouth. La première étape de ces travaux étant achevée au début du mois de juin 2019, une deuxième phase sera lancée conformément au plan du Cabinet de Conseil en ingénierie Dar al Handasah à qui le projet a été confié. Coût de l’opération ? 500 Millions de dollars.
En perspective, six nouveaux scanners, ainsi qu’une capacité additionnelle de 19 millions de passagers annuellement. Les autorités envisagent également de supprimer le petit formulaire rose que les voyageurs étaient obligés de remplir avant leur départ.
Raya el-Hassan, la ministre de l’Intérieur qui a raccompagné Saad Hariri lors de l’inauguration avait annoncé que plus de 22 000 passagers avaient décollé de l’AIB vendredi et qu’il s’agissait d’un « record dans l’histoire du Liban ».
Le projet est unique en son genre pour le pays du Cèdre. En effet, c’est l’une des premières initiatives où travaille en collaboration le secteur public et le privé.
De plus, il fait partie d’un des projets soutenu par le programme d’aide économique intitulé CEDRE.
Houda Maarouf
Réagissez à cet article