La société publique norvégienne des hydrocarbures est présente en Algérie depuis 2003. Elle développe deux des plus gros gisements de gaz naturel du pays avec une production qui a affiché en 2020, 41 400 barils équivalents pétrole.
En Algérie, la société publique des hydrocarbures (Sonatrach) a annoncé que son homologue de la Norvège, Equinor restera plus longtemps que prévu dans le pays. En effet, les deux parties ont signé le 6 septembre un protocole d’accord qui prévoit la poursuite de leur coopération à l’intérieur du pays et à l’étranger.
Les contrats d’Equinor en Algérie couvrent la production de gaz naturel à l’exportation dans les provinces d’In Salah et d’In Amenas et devraient arriver à expiration en 2027. Equinor est également partenaire de Sonatrach sur le périmètre d’exploration de Timissit. « Les deux projets devraient être prolongés au-delà de la durée des contrats actuels qui se terminent en 2027 », affirme la société algérienne dans un communiqué.
Le document a été paraphé par Toufik Hakkar, PDG de Sonatrach et Anders Opedal, patron d’Equinor. Il faut noter que ce dernier s’est déplacé à Alger le 5 septembre pour son premier voyage à l’étranger depuis sa nomination à ce poste.
Le nouveau protocole d’accord prévoit également que les partenaires limitent leurs émissions de carbone et investissent dans des projets d’hydrogène bleu.
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