Ces dernières années, l’Egypte a ouvert huit nouveaux marchés à l’exportation pour ses fruits et légumes. Au cours du premier semestre 2025, les exportations agricoles se sont établies à 5,2 millions de tonnes, en de 6 % par rapport à la même période un an plus tôt.
En Egypte, les exportations du secteur alimentaire ont atteint 4,03 milliards $ au cours des sept premiers mois de 2025, enregistrant ainsi une hausse de 8% par rapport à la même période en 2024. C’est ce qu’indiquent les données du Food Export Council publiées le 31 août 2025.
Durant la période étudiée, les fraises surgelées arrivent en tête des produits les plus exportés, estimés à 517 millions $, en hausse de 77 %. Les concentrés de cola occupent la deuxième position (360 millions $) suivis des huiles alimentaires (220 millions $). Bien qu’ayant enregistré une baisse par rapport à l’année dernière, le sucre occupe la quatrième place.
Concernant les partenaires commerciaux, l’Arabie saoudite demeure le principal client du secteur, avec des importations estimées à 303 millions de dollars suivis des Etats-Unis et du Soudan. D’autres marchés comme la Libye, la Jordanie et les Pays-Bas figurent parmi les destinations importantes.
Cette performance intervient alors que le secteur agroalimentaire est en pleine expansion dans ce pays d’Afrique du Nord. Au cours du premier semestre 2025, les exportations agricoles se sont établies à 5,2 millions de tonnes, en hausse de 6% par rapport à la même période un an plus tôt.
De nombreux efforts ont été déployés par le gouvernement égyptiens, ces dernières années pour élargir les débouchés sur le marché international. Le pays a réussi à ouvrir huit nouveaux marchés à l’exportation pour ses fruits et légumes. Il s’agit notamment de l’Afrique du Sud, du Costa Rica, de l’Ouzbékistan, de l’Inde et des Philippines.
Selon le ministre de l’Agriculture, Alaa Farouk, cette croissance est due au respect des standards internationaux, ce qui permet à l’Egypte de préserver sa réputation sur les marchés mondiaux, de lever les obstacles commerciaux et d’élargir sa présence à l’export.
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