L’Algérie a misé sur la coopération avec les pays étrangers en signant 75 accords internationaux depuis le début de la pandémie de covid-19 2
habib kaki
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Agence Ecofin
mercredi 6 avril 2022 Dernière mise à jour le Mercredi 6 Avril 2022 à 06:00

Depuis le début de la covid-19, l’Algérie a signé de nombreux accords, conventions, organisé des manifestations et événements scientifiques. Ces initiatives, en plus de développer le système de formation, ont pour objectif de rendre les universités du pays plus présentes sur la scène internationale.

Pour l’internationalisation de son système d’enseignement supérieur, l’Algérie a misé sur la coopération avec les pays étrangers. Selon le ministère de l’Enseignement supérieur, le pays a signé 75 accords internationaux depuis le début de la pandémie de covid-19. Le chiffre a été évoqué le mercredi 30 mars par le directeur de la coopération au ministère de l’Enseignement supérieur, Arezki Saïdani.

Les plus récents accords sont ceux signés avec la Tunisie le 21 mars, pour la création d’un réseau universitaire entre les deux pays. D’autres accords ont été signés avec la Mauritanie, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, l’Allemagne, le Qatar, la Chine et le Japon.

Par ailleurs, de manière globale, le ministère a signé 1098 conventions inter-universitaires auxquelles s’ajoutent 678 conventions en cours d’études. Chaque année, le ministère organise en moyenne 3000 manifestations scientifiques internationales. Dans le même temps, près de 2384 enseignants et chercheurs étrangers de 107 pays ont participé à 334 événements organisés en Algérie.

Ces engagements ont pour objectif de moderniser l’enseignement et développer la recherche en Algérie, afin d’ouvrir les universités et établissements supérieurs à l’international. Selon le canevas soutenu par le président de la République, ces accords, conventions et manifestations doivent aller dans le sens du partage d’expérience, en vue d’améliorer la qualité du contenu des programmes universitaires. 

A terme, cette stratégie en plus de rendre les universités algériennes plus influentes, va améliorer la formation des étudiants en leur donnant les compétences adaptées à l’évolution du marché du travail. Aussi, l’évolution de la recherche scientifique permettra au pays de disposer de solutions innovantes pour faciliter les efforts de développement.

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