Egypte : L’engouement pour le blé russe atteint des sommets
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Agence Ecofin
lundi 27 juin 2022 Dernière mise à jour le Lundi 27 Juin 2022 à 07:30

Au Maroc, les produits à base de blé représentent la base de l’alimentation. Avec une demande qui ne connaît pas d’essoufflement, de nombreuses opportunités commerciales existent pour le secteur privé. 

Au Maroc, le minotier Forafric, filiale du groupe industriel Forafric Global Plc, a annoncé le 14 juin qu’il vient de recourir aux services du leader turc des équipements de meunerie, Alapala, afin d’augmenter sa capacité de traitement de blé tendre et de blé dur, rapporte Moroccoworldnews.

Ce projet qui s’étendra sur les 30 prochains mois, prévoit notamment l’extension de la capacité de trois moulins déjà existants ainsi que la construction de trois nouvelles unités pour un coût total de 1 milliard de dirhams (99,3 millions $).

Selon les responsables, l’investissement permettra de faire passer la capacité d’écrasement de blé à 2 370 tonnes par jour contre seulement 470 tonnes actuellement. Avec cette initiative, la compagnie entend accroître son offre en pâtes alimentaires et couscous qui tourne actuellement autour de 55 000 tonnes par an afin de substituer les importations.

« Nous avons amélioré nos procédés, réduit nos coûts de base et accru notre pénétration du marché sur les 4 dernières années. En nous associant à Alapala, nous pourrons augmenter significativement notre production et porter notre activité à un autre niveau », indique Mustapha Eddine, CEO de Forafric Maroc.

Fondée en 1926 au Maroc, Forafric emploie 1 000 personnes et dispose de 7 sites de production.

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