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#Economie #Industrie #Mobilite #Transport #Alger #ALGERIE
Agence Ecofin
dimanche 3 novembre 2024 Dernière mise à jour le Dimanche 3 Novembre 2024 à 07:00

Alors qu’elle cherche à renouveler le parc national de bus, l’Algérie qui exécute aussi un plan de développement de son industrie automobile, compte acheter des véhicules fabriqués localement.

Le ministère algérien des Transports a dévoilé un plan de renouvellement de la flotte nationale de bus, axé sur l’industrie locale de production automobile. Le programme récemment présenté au Parlement vise selon le ministre Mohamed El-Habib Zahana, à moderniser le sous-secteur de la mobilité urbaine tout en soutenant l’industrie nationale de la production automobile.

L’initiative intègre entre autres un plan de mobilité prévoyant 130 lignes de bus à exploiter par des opérateurs privés et 45 lignes par l’Etablissement public de transport urbain et sub-urbain d’Alger (Etusa). Le projet fondé sur l’exploitation de 205 bus est porté par la Direction des Transports de la ville d’Alger et actuellement en cours.

L’agrandissement et la modernisation du parc national de bus viendra compléter les politiques gouvernementales de mobilité qui promeuvent la multimodalité, avec des projets de développement du transport ferroviaire et par téléphériques. A Alger par exemple, des travaux sont en cours pour l’extension du réseau de tramway, devenu depuis 2011 l’une des principales options de mobilité avec les lignes de bus.

A cela s’ajoute la modernisation en cours des réseaux de téléphériques qui, conformément à la feuille de route présentée en novembre 2023, devrait toucher les lignes de plusieurs villes dont Alger, Constantine, Tizi Ouzou, Oued Koreich, Tlemcen, Blida et Annaba entre autres.

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