En 2019, l’Algérie s’est dotée d’une nouvelle législation sur le secteur de l’énergie, qui offre plus d’incitations aux investisseurs étrangers et allège la charge fiscale. Depuis, les investisseurs sont de plus attirés par la destination.
Le 28 juin, les sociétés publiques des hydrocarbures de l’Algérie (Sonatrach) et de l’Indonésie (Pertamina) ont signé un protocole d’accord visant à poursuivre leur collaboration stratégique afin d’accroître leur portefeuille d’activités en Algérie et à l’international. Le nouvel accord signé par Toufik Hakkar, PDG de Sonatrach et Nicke Widyawati, directrice générale de Pertamina, couvrira l’ensemble de la chaîne de valeurs pétrogazières.
Le potentiel de coopération prendra en compte des projets existants et nouveaux, la fourniture de brut et de GPL, le développement des énergies renouvelables et la recherche d’opportunités en Algérie et à l’étranger. Il faut souligner que les deux parties travaillent déjà sur les changements à apporter dans ces différentes activités, afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
« Nous nous félicitons de la signature de ce nouveau protocole d’accord, qui démontre la volonté des deux parties de renforcer leurs relations existantes », a déclaré Hakkar. De son côté, la patronne de Pertamina a affirmé que « Grâce à sa collaboration avec Sonatrach, Pertamina est optimiste quant à sa capacité à surmonter les différents défis auxquels l’industrie pétrolière et gazière sera confrontée dans le cadre de la tendance à la décarbonisation ».
Pertamina produit environ 25 000 barils par jour de brut dans le pays d’Afrique du Nord.
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