L’Egypte souhaite devenir un hub régional pour l’export d’hydrogène vert, avec l’objectif ambitieux d’acquérir une part de marché mondiale entre 5 % et 8 % d’ici 2040.
D’après le cabinet du Premier Ministre égyptien, l’Égypte a signé sept protocoles d’accord (MoU) avec des entreprises internationales (PASH Global, Smart Energy, SK ecoplant, AmmPower, United Energy Group) et locales (Gila Al Tawakol Electric et Gama Construction) pour développer des projets d’hydrogène vert et d’énergies renouvelables dans la Zone économique du Canal de Suez, cumulant 40 milliards USD d’investissements sur dix ans.
Ces annonces s’ajoutent à la vingtaine d’accords signés depuis la COP27 pour la construction d’installations d’hydrogène et d’ammoniac vert, d’une valeur théorique de 83 Mds USD. Le Ministre de la Planification a rappelé la stratégie de l’Egypte qui souhaite devenir un hub régional pour l’export d’hydrogène vert, avec l’objectif ambitieux d’acquérir une part de marché mondiale entre 5 % et 8 % d’ici 2040.
Crédits photo : Engie Pro
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